Le Grenoblois sportif – Le Petit Grenoblois

Mettez-vous au tennis !

Posté le 18 septembre 2015 Par La Rédaction Publié dans Le Grenoblois sportif .

Travail-en-cours raquette Marre de vos collègues de boulot que vous ne pouvez plus encadrer depuis votre retour de vacances ? Coupable de vous passer les nerfs sur vos proches le soir à la maison ? Besoin de vous défouler ? Venez frapper la balle sur un court de tennis.

Croyez-en mon expérience, cela vous fera un bien fou ! En plus de remuer vos jolies gambettes et toute autre partie de votre corps bientôt athlétique, vous allez aussi remuer vos méninges, apprendre à cerner votre adversaire et juger du coup que vous pourriez lui asséner pour gagner ce point tant attendu… Cette satisfaction qui s’empare de vous lorsque la balle de votre rival atterrit juste derrière la ligne…

Et non, le tennis n’est plus réservé à l’élite ! La preuve avec trois clubs grenoblois qui n’ont pas pris le melon :

Le tennis club du GUC. Célèbre pour ses terrains extérieurs disséminés tout autour du campus de Saint-Martin-d’Hères, qui ne désemplissent pas et qui sauront vous accueillir à toute heure, de jour comme de nuit. Avec ses 4 terrains couverts et ses 20 terrains extérieurs implantés dans un cadre idyllique, le court sera votre nouveau terrain de jeu ! GUC Tennis – Domaine Universitaire, 201 Avenue de Vignate, 38610 Gières.

Le Tennis Club de Gières. Avec un nouveau club-house refait à neuf, des installations de qualité et une ambiance familiale inespérée, ce joli petit club sans prétention a le vent en poupe. Participez à des tournois amateurs, familiaux ou mixtes, suivez des cours dans la joie et dans la bonne humeur avec de jeunes professeurs sympathiques à souhait, buvez un Perrier face à la Chartreuse, bref, ce club n’a que des qualités. Cerise sur le gâteau : le tram B vous dépose au pied des courts! Gières Tennis, 1 rue des Sports, 38610 Gières.

Grenoble Tennis. Un tennis pour tous. Un club où l’on peut venir se rencontrer avec ou sans raquette. De l’initiation à la performance, de la performance à la convivialité. Tels sont les mots qui qualifient le tennis club de Grenoble. Avec ses 13 courts couverts et ses 10 courts extérieurs, ce club situé en plein cœur de Grenoble saura vous accueillir et vous guider à la recherche de la performance ou du plaisir. Grenoble Tennis, rue du Repos, 38100 Grenoble.

Pagayez sur l’Isère

Posté le 24 juillet 2015 Par La Rédaction Publié dans Le Grenoblois sportif .

Vous pensez connaître Grenoble sur le bout des doigts? Détrompez-vous, vous n’avez encore rien vu !

Tout l’été, le club d’aviron Canoë Grenoble met à disposition son équipement de choc pour vous faire découvrir votre ville sous un nouvel angle. Entre amis, en famille ou en couple, vous embarquerez sur ce navire coloré aux abords du campus de Saint-Martin-d’Hères, où de gentils animateurs vous expliqueront l’essentiel pour éviter le naufrage tant redouté (la couleur trouble de l’eau ne met guère en confiance…).

Fièrement harnaché, un casque, un gilet et une pagaie entre les mains, vous descendrez le cours de la rivière en admirant les bâtiments qui vous apparaîtront plus grand que jamais, tout en appréciant la fraîcheur bienvenue apportée par l’Isère à cette époque de l’année. De l’Île Verte aux quais Saint-Laurent, en passant par la Porte de France et le quartier de la gare, vous finirez votre descente au pont d’Oxford, célèbre pour son club d’aviron.

Trois parcours vous sont proposés en fonction de votre caractère ! Assoiffé de culture ? Optez pour la descente culturelle et embarquez aux côtés d’un guide de l’Office du Tourisme qui vous permettra d’en savoir plus sur les monuments qui se dévoilent à vous au fur et à mesure de votre progression. Plutôt indépendant ? Choisissez la descente découverte qui vous laissera naviguer où bon vous semblera, en prenant tout le temps que vous souhaitez. Avide d’adrénaline ? Le parcours aventure est fait pour vous. Cherchez les sensations fortes en remontant le courant qui se cache sous le pont Saint-Laurent et domptez-en les remous ! Vous ne serez pas déçu. Enfin, si vous êtes un oiseau de nuit, préférez la descente aux flambeaux, magique. Un autre regard sur la ville qui vaut le détour.

Combien ça coûte ?

Descente Découverte : 18 euros
Descente Culturelle : 20 euros
Parcours Aventure : 20 euros
Descente nocturne aux flambeaux : 20 euros

AU VÉLEUR!

Posté le 8 décembre 2014 Par La Rédaction Publié dans Actu, Le Grenoblois sportif .

STOP AUX VOLS DE VÉLOS !

Quel grenoblois n’a pas eu la triste expérience de rentrer d’une soirée bien arrosée, dans l’obligation de faire plusieurs tours de la même rue en se demandant si l’alcool ne lui jouait pas des tours quant à l’endroit où l’attendrait son vélo ? La vérité, plus cruelle, le fera rapidement décuver…

On n’espère cependant pas que la majorité des grenoblois se sont déjà fait voler leur vélo (sans compter ceux qui n’en n’ont pas), mais cette pratique est devenue un véritable fléau et nombreux sont ceux qui en ont été les victimes. Attaché ou pas, le combat est le même. Marion, 29 ans, n’a pas son permis de conduire et nous affirme circuler exclusivement en vélo :

Le vélo est mon moyen de transport principal, je le prend pour me rendre au boulot, faire mes courses, aller au cinéma ou sortir en ville. Je ne peux pas concevoir d’en être privée! Je me suis déjà fait volé un vélo il y 5 ans, mais c’était un peu de ma faute, je l’avais mal attaché… Aujourd’hui je fais beaucoup plus attention car les vols sont monnaie courante, et je ne pourrais m’en passer!

Il est vrai que Grenoble est une ville modèle en matière de déplacements à vélos, elle compte parmi celles où l’on pédale le plus (et rentre même dans le top 5) grâce à ses nombreux aménagements cyclables qui se poursuivent en dehors de l’agglomération. Nous ne sommes plus surpris de voir, le matin de bonne heure, tout un escadron de cadres supérieurs, secrétaires et salariés enfourchant leur monture à deux roues à l’assaut des pistes cyclables menant aux divers Schneider Electric dont la ville est (bien) pourvue, à Montbonnot, Meylan ou Europole, ou encore à Echirolles et même jusqu’à Seyssinet. Les pistes sont fluides et bien balisées, épargnant les embouteillages, tout en faisant bénéficier à ses utilisateurs d’un exercice quotidien bénéfique ainsi que d’un grand bol d’air frais ! Sans compter le cadeau offert à la planète.

Mais risquerait- on de voir de moins en moins de vélos circuler dans notre ville en raison des vols qui augmentent au fil des années? Les grenoblois rechigneraient-ils, au bout de plusieurs vols, à racheter un biclou ? On ne l’espère pas…

Adrien, 35 ans, ex-propriétaire d’un vélo vintage entièrement retapé volé il y a quelques mois, enrage toujours en y repensant :

Je me suis fait volé mon vélo pendant que j’étais au cinéma à Chavant. Quand je suis sorti, il ne devait pas être plus tard que minuit et les rues étaient loin d’être désertes. Je l’avait bien cadenassé pourtant… Ce qui m’attriste, c’est que j’avais passé beaucoup de mon temps dessus, à refaire les poignées, retaper le cadre, commander une nouvelle selle en Angleterre… C’est triste, on ne peut plus avoir de beau vélo ici… Je vais bien sûr m’en racheter un, car c’est tellement pratique pour circuler en ville, mais je vais être obligé d’en choisir un banal, qui ne sautera pas à l’œil d’un voleur potentiel. C’est triste car ça veut dire qu’ils ont gagné.

Alors, pour que Grenoble ne perde pas ses cyclistes, préparons-nous et entraidons nous : on ne jettera pas la première pierre à celui qui a été l’acteur passif d’un vol de vélo, mais, dans la mesure du possible, si l’on est bien entouré et que le voleur ne semble pas dangereux, on peut tenter d’aller faire justice, ou du moins, de faire un photo ou une vidéo.

On investit pour son propre vélo dans un cadenas résistant, de préférence en « U » (on n’a toujours pas fait mieux), quasiment incassable. On prend le soin d’attacher son cadenas avec le cadre et au moins une roue. Et on évite de laisser son biclou isolé pendant plus d’un jour. Si cela ne suffit pas et que vous êtes le malheureux élu, ne rechignez pas à vous rendre au commissariat le plus proche, qui vous délivrera un certificat de vol, non négligeable si vous retrouvez votre vélo dans un vide- grenier quelques mois plus tard…

EQUITATION

Posté le 8 décembre 2014 Par La Rédaction Publié dans Le Grenoblois sportif .

VOUS AIMEZ LA NATURE ? LES ANIMAUX ? LE SPORT

VOUS AIMEZ LA NATURE ?

En ce court dimanche hivernal, nous sommes allés dompter le vent glacial qui s’engouffrait dans les sapins des environs de Champagnier, sur le dos de la plus belle conquête de l’Homme.

Après avoir débarrassé notre monture de toutes les imperfections collées à son pelage maintenant soyeux, nous déposons une selle en cuir sur son dos, qu’on rêverait de voir enveloppée d’une peau de mouton, d’un plaid en laine ou toute autre matière molletonnée susceptible de nous rendre un peu de chaleur par ce temps glacial. On fait ensuite gentiment ouvrir la bouche de notre cheval pour y glisser furtivement le mors et son filet auquel sont reliées les rênes qui permettront de le guider à travers la campagne environnante. Après avoir revêtu un casque et une paire de gants, nous nous hissons sur notre fidèle destrier, gagnant vite quelques bons centimètres de haut, parés pour affronter vents et marées!

Le pas régulier de notre cheval ferré retentissant sur le macadam nous fait voyager à travers les âges et on se surprend à rêver de chevauchées fantastiques et de grands moments d’héroïsme. La campagne semble infinie et nous jouissons d’un panorama sublime sur la région, les montagnes en toile de fond, nous enveloppant de tous les côtés de leurs manteaux encore timides.

Nous pénétrons dans un chemin bordé de grands arbres bienveillants qui semblent nous indiquer la direction. Un petit trot plus tard et nous voilà réchauffés, ignorant maintenant les menaces du frimas. Nous gagnons ensuite le mignon petit village de Champagnier et nous arrêtons pour prendre la pose. Notre cheval impatient écourte ce shooting en plein air pour reprendre notre cavalcade de plus belle.

On s’engouffre maintenant dans un bois sombre qui oblige notre cheval à ouvrir ses yeux doux en raison de l’obscurité qui commence à s’épaissir. Ce n’est pas un problème pour l’animal, qui commence à sentir le chemin du retour et l’avoine qui l’attend sagement à l’écurie !

Nous profitons des dernières lumières du jour pour entreprendre un dernier trot. Quel bonheur à présent de sentir la fraîcheur du vent venant nous fouetter le visage, dominant la vallée maintenant plongée dans l’obscurité. Presque seuls au monde, fiers comme Artaban sur notre boule de poils toute chaude, on ne peut que tomber amoureux de ce noble animal qui nous donne le meilleur de lui-même à chaque foulée. Une belle leçon d’humilité…

VÉLO

Posté le 27 octobre 2014 Par La Rédaction Publié dans Le Grenoblois sportif .

PÉDALEZ JEUNESSE !

En ce début d’été retardé, Grenoble voit ses berges envahies par les roues gominées, les guidons chromés et les gambettes fuselées !

Et oui, les beaux jours sont enfin là et on sort notre vieux Peugeot du garage. Entre riders invétérés chevauchant leurs VTTs dernier cri, étudiantes en robes légères caracolant sur leurs vélos vintage ou bambins plein d’énergie slalomant entre les quelques marcheurs minoritaires, il y en a pour tous les goûts !

Si vous habitez au centre ville de Grenoble, dirigez vous vers l’Ile Verte pour récupérer les berges puis continuez en direction de Saint Martin d’Hères. Une belle balade vous est offerte pendant plus de deux heures, garantie sans voitures. Les moins courageux couperont par le campus universitaire pour ensuite rejoindre la plaine des sports de Gières. Jusque ici, vous aurez eu le temps de profiter de la fraîcheur apportée par l’Isère qui souffle dans votre cou un air frais comme un vent breton !

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A cette hauteur, vous pourrez admirer la vue qui s’offre à vous et ses montagnes aux cimes encore enneigées jusque tard dans l’année. Poursuivez l’aventure en direction de Domène, dépassez Murianette et atterrissez enfin au Versoud (dans tous les sens du terme ! Ndrl : l’aérodrome du Dauphiné se situe au Versoud).

Course à pied

Posté le 24 juin 2013 Par La Rédaction Publié dans Le Grenoblois sportif .

ET SI ON PRENAIT LA BASTILLE ?

Le repère des joggers invétérés, c’est le chemin de croix menant à la Bastille. A deux pas des quais, vous commencerez votre ascension en dépassant le Musée Archéologique de Grenoble (à découvrir au passage, mais plus tard, après quelques étirements, voire une bonne douche!), puis vous enfoncerez dans la pénombre d’une rangée d’arbres apaisants qui vous protégeront de la chaleur suffocante les jours de canicule. Prenez garde aux nombreux cailloux ancrés dans la terre qui n’attendent qu’un faux pas de votre part pour vous faire basculer!

Au gré des lacets bien dessinés, vous rencontrerez sûrement quelques difficultés, qui s’effaceront vite lorsque vous relèverez la tête et admirerez la vue plongeante sur Grenoble et son fond de montagnes aux sommets encore enneigés. Arrivé au premier tronçon, vous pourrez reprendre votre souffle en admirant le spectacle qu’offre ce point de vue.

Les plus courageux poursuivrons leur ascension par les escaliers en pierre et seront accueillis par de belles portes médiévales toujours grandes ouvertes. Ne perdez pas espoir, vous y êtes presque!

Quelques lacets caillouteux plus tard et c’est la délivrance! Vous arrivez à la sortie du téléphérique, qui a sans doute inspiré le restaurant éponyme qui se trouve juste au dessus de votre tête. Allez récupérer un peu en poursuivant l’itinéraire en direction du Père Gras. Vous croiserez sûrement quelques randonneurs qui prendront le chemin de gauche menant à la Vierge Noire et au Mont Jallà. Vous pourrez les suivre mais un entraînement préalable est fortement recommandé après ce jogging endiablé!