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Vous cherchez à être surpris ? Allez donc faire un petit tour du côté de nos salles obscures. En ce moment à l’affiche, le dernier film de Woody Allen, L’Homme Irrationnel, un long-métrage « philosophique » et déjanté, assaisonné d’une bande originale jazzy à souhait.
C’est ce que le scénariste à l’imagination débordante sait faire de mieux : nous mettre sur une piste pour mieux la brouiller, nous en proposer une autre pour s’empresser de nous perdre en chemin, et finir par un dénouement pour le moins déstabilisant… Vous allez aimer vous faire duper !
Le casting est une fois de plus, exquis : un Joaquin Phoenix excellent dans le rôle du professeur de philosophie acerbe et défaitiste, contrebalancé par une Emma Stone éblouissante de fraîcheur et de spontanéité, qui remet le couvert pour un deuxième film du même auteur (l’an dernier, elle était la muse de Colin Firth dans l’éblouissant Magic in the Moonlight). Les deux acteurs principaux se cherchent, se trouvent et se détachent, d’une façon plutôt singulière… Des personnages aux caractères bien éloignés qui s’équilibrent pour mieux se laisser déséquilibrer…
On ne vous en dit pas plus pour vous laisser le plaisir de déguster cette comédie (qui frôle bien d’autres genres encore) à sa juste valeur, armé jusqu’aux dents d’un bataillon de pop-corns encore crépitants… Bonne séance !
Imaginez un monde où les monstres font partie du décor habituel des humains, accoutumés à entendre le cri strident des loups garous, à sentir le frôlement furtif des chauve-souris ou le pas assourdissant des géants.Cela donne Hôtel Transylvanie 2, un film d’animation pour le moins original, suite du premier opus du même nom. On approche d’Halloween, et ça se sent !
L’Hôtel Transylvanie, c’est un hôtel où les monstres prennent vie, non pas pour terroriser de jeunes enfants innocents, au grand dam du compte Dracula, mais pour s’amuser, et profiter de la vie nocturne comme il se doit. Quelque peu sordide à première vue, l’hôtel s’est récemment ouvert aux humains qui auraient le courage de tenter l’expérience audacieuse de réserver une suite dans cet établissement insolite, au room-service déroutant et aux frissons garantis 100 % remboursés !
Un mariage entre un humain et une vampire en guise d’ouverture, un bébé pour la suite des festivités, un grand-père ambitieux pour clôturer le tout, le thème de la famille est abordé de manière décalée dans ce film d’animation sophistiqué. Tous les clichés vampiriques sont là, mais tournés en dérision, pour le plaisir des petits mais aussi des grands : la Transylvanie, pays du Comte Dracula par excellence, le train de vie opulent couronné de banquets de sang, l’élégance naturelle des accoutrements ou encore la vie nocturne ponctuée de vols incessants.
Au delà du dessin animé, une belle leçon d’humilité sur la tolérance de la différence…
Imaginez un instant ce qui se passerait dans votre cerveau si la joie, la peur, la tristesse, le dégoût et la colère prenaient forme humaine, et se livraient à un combat sans merci pour avoir le premier rôle…
Un joyeux méli-mélo plein d’humour, point de départ du dernier Pixar, Vice Versa, réalisé par Pete Docter, metteur en scène du fameux Là-Haut, autre petit bijou issu de la même usine à rêves.
Derrière nos lunettes 3D, on assiste au déménagement de Riley, joyeuse fillette de 11 ans, d’une petite ville du Minnesota à la branchée San Francisco. Notre héroïne va devoir faire face aux aléas de cette nouvelle vie et apprendre à maîtriser ses émotions afin de retrouver la joie qui l’habitait et qui semble l’avoir quitté. En réalité, c’est le branle-bas de combat dans la mémoire centrale de la jeune fille, et Joie, loin d’avoir abandonné son poste, a été accidentellement propulsée dans les limbes du cerveau de sa petite protégée, se battant comme une lionne pour rejoindre le quartier cérébral, (mal) accompagnée de Tristesse qui lui en fait voir de toutes les couleurs. Une jolie métaphore qui nous apprend à accepter chaque émotion comme elle vient (le point de départ de la méditation…qui aurait cru qu’un dessin animé vous aurait converti ?).
On se surprend à éclater de rire ou à verser sa petite larme, se laissant tendrement guider par ces émotions personnifiées qui cheminent à travers le cerveau coloré d’une jeune fille désabusée, s’apprêtant à quitter le monde de l’enfance et ses douces illusions parfumées aux biscuits à la crème et aux barba-papas (mention spéciale à l’ami imaginaire qui pleure des bonbons acidulés, que nous, nous n’oublierons pas !).
Vice Versa, c’est un joli film d’animation qui nous fait vaguement penser à une version romancée de « Il était Une Fois la Vie » (2.0). Destiné à un public plus mature, les références hilarantes abondent et risquent de passer inaperçues chez nos chères têtes blondes… Pour couronner le tout, on nous offre un casting cinq étoiles avec les voix françaises de Charlotte Le Bon, Gilles Lelouche, Pierre Niney ou Mélanie Laurent. Que demander de mieux ? Un tarif préférentiel ? Ça tombe bien, jusqu’à mercredi la place est à 4 euros… Courez-y vite !
Big Eyes, c’est le nouveau film de Tim Burton, inspiré de la vie pleine de rebondissements de l’artiste peintre américaine Margaret Keane. Cette dernière, jouée par une Amy Adams qui a troqué sa longue chevelure rousse contre un carré blond à la Marilyn, est une artiste non reconnue et mère au foyer soumise en quête de liberté.
Bridée par ses maris et n’osant jamais s’imposer (même si elle réussit à divorcer dans une époque où les mœurs l’interdisent), elle va aller jusqu’à accepter l’impossible pour satisfaire les désirs de son nouveau conjoint, campé par l’excellent Christoph Waltz. Une histoire vraie difficile à croire et plutôt bien racontée par notre réalisateur déjanté malgré quelques longueurs, seule ombre au tableau.
Dans une Amérique des années 60, on voyage entre Hawaï et San Francisco, confortablement installés à l’arrière d’une voiture colorée tout droit sortie d’un décor de Grease. Au bout de quelques minutes, la barrière temporelle s’efface tant la modernité prime sur le reste et on se sent appartenir à cette époque révolue, tremblant avec cette femme pleine de paradoxes, à la fois forte et faible, sensible et invincible, qui a mis trop longtemps à dévoiler son talent.
L’univers burtonnier se retrouve dans les tableaux de Madame Keane, révélant des fillettes aux grands yeux tristes qui nous fixent depuis des décors sombres et mystérieux. Malgré tout, on ressent un léger changement dans la manière d’aborder ce film, moins déjanté que ses petits frères, sortant du monde de l’imaginaire que le réalisateur de Charlie et La Chocolaterieaffectionne tant (il s’agit ici de son deuxième biopic, vingt ans après Ed Wood). Le grain de folie des débuts s’est transformé en un projet plus mature et réfléchi. Tim Burton aurait- il grandi ?
Daniel Craig n’a qu’à bien se tenir, la relève est là !
Le dernier film du britannique Matthew Vaughn, Kingsman, Services Secrets, remet les espions au goût du jour pour nous faire oublier les déceptions des récents James Bond tels Quantum of Solace ou Skyfall, plus empreints aux longues tirades que ses petits frères.
On commençait à se demander où étaient passées les scènes d’action rocambolesques, les machines infernales, les voitures multifonctions et autres véhicules invraisemblables que l’espion le plus connu au monde ne cesse d’emprunter pour éliminer des méchants parfois tout aussi gentlemen que lui, reclus dans des repères gargantuesques aux dangers certains.
Oui, nous sommes définitivement nostalgiques des années James Bond à la sauce Guy Hamilton, ceux qui mettaient en scène Sean Connery ou Roger Moore, truffés de gadgets improbables, aux décors à couper le souffle malgré les techniques de l’époque, où les répliques bourrées d’humour (anglais) d’un double zéro sept plein d’aplomb pouvaient nous faire éclater de rire malgré le sérieux de la situation.
Avec Kingsman, notre mélancolie s’arrête là. Et la comparaison se fait aisément, à un détail près, il ne s’agit (malheureusement) pas là d’un nouvel opus mettant en scène notre agent britannique préféré… Dans ce film adapté d’une bande dessinée, contrairement à la saga, les espions n’appartiennent à aucune structure officielle et agissent dans une confidentialité des plus extrêmes. Les agents secrets prennent des airs de chevaliers celtes avec des noms de code tout droit sortis du roman du Roi Arthur. Ainsi, Galaad, Lancelot, Arthur, Merlin ou Perceval se retrouvent autour d’une table (ovale pour le coup) au sous-sol d’une luxueuse boutique londonienne de costumes pour tenter de sauver le monde aussi élégamment que possible.
Entre flegme anglais et répliques assassines, les British sont tous aussi irrésistibles les uns que les autres. On se surprend même à rêver de voir Colin Firthreprendre le rôle tant convoité de James Bond, plus classe, moins blond et bodybuildé que son acolyte actuel (sans vouloir offenser les fans de Daniel). Les rebondissements sont fréquents et ne manquent pas de nous surprendre. Quant aux acteurs, ils se dégustent à point. Mention spéciale pour Taron Egerton, jeune anglais qui apporte un peu de fraîcheur dans ce monde de brutes, un nouveau talent promis à un succès certain. Un excellent film qui a du chien (au sens propre comme au figuré) et qui ne nous ennuie pas pour un sou!
A découvrir en VO pour se délecter de l’accent British so chic, aux nuances malheureusement imperceptibles dans sa version française.
Les Nouveaux Sauvages, c’est un film surprenant, hilarant, parfois violent mais jamais ennuyant !
On connaît tous des situations de la vie quotidienne qui nous font dresser les cheveux sur la tête, sans pour autant oser monter sur nos grands chevaux. Dans ce film, c’est bien le contraire, et les personnages, sans aucun lien les uns entre les autres si ce n’est un pétage de plomb monumental, n’hésitent pas à passer à l’acte en nous arrachant rires jaunes et fou-rires incontrôlés!
Les acteurs, aussi bons les uns que les autres, nous mènent à la baguette dans leur univers déjanté, et nous surprennent à chaque fois que la chute approche. Le réalisateur aime brouiller les pistes et on ne sait plus où donner de la tête après la première séquence, nous laissant surprendre avec plaisir là où on ne s’y attend pas, un des aspects délectables de ce film auquel on ne sait quelle catégorie lui attribuer. Morale : ne vous énervez pas pour si peu, ça pourrait rapidement s’empirer…
Un film qui sort de l’ordinaire, à voir absolument (en VO c’est encore meilleur!).
Interstellar, à première vue, ça nous fait vaguement penser à un remake de Gravity, sans la 3D et avec un peu plus de scénario… Tout laisserait croire au blockbuster américain, effets spéciaux à gogo et testostérone à profusion sur fond d’histoire d’amour un peu fleur bleue. Mais c’était mal connaître ce cher Christopher Nolan, pas américain pour un sou (on tient à rappeler aux non-initiés qu’il a poussé son premier cri à Londres).
Avec un casting de choc porté par un Matthew McConaughey au sommet de son art, des paysages cosmiques à couper le souffle et une bande originale épurée, on en a pour notre argent ! On embarque dans la navette comme si on y était (Nolan réussit à prouver que la 3D ne régit pas le monde du septième art) et on s’envole pour trois heures d’émotions fortes, les mains cramponnées à notre siège molletonné comme si on décollait pour la première fois. Le scénario scientifico-fictif fait écho aux premiers films de Spielberg et la réalité prend le pas sur la fiction de manière très naturelle. On y croirait presque !
On remercie le scénariste d’Inception de nous épargner une énième fable extra-terrestre qui commence à nous lasser et on accueille avec curiosité une nouvelle théorie pour le moins surprenante. On ressort de ce voyage autour du cosmos assez perplexe, une foule de questions métaphysiques venant se bousculer aux parois de notre boîte crânienne !
Un film magistral qui, plus qu’une super- production aux rebondissements incessants, nous donne du fil à retordre et nous fait réfléchir … A ne pas manquer !
Léa Seydoux et Vincent Cassel se partageant l’affiche d’un conte de fée magistral, ça fait rêver. Mais ça peut aussi en arrêter plus d’un.
Les réticents nous expliquent qu’ils n’iront pas suivre les aventures d’une Belle humaine étant donné qu’il s’agit d’une simple transposition à l’écran d’un Walt Disney qu’ils connaissent sur le bout des doigts. Certes nous connaissons tous la version acidulée de ce cher Monsieur Disney, et quelle petite fille n’est pas ressortie du parc éponyme arborant tel un trophée la robe dorée de Belle virevoltant dans la salle de bal avec une grosse boule de poil faisant office de cavalier? Cependant, il ne faut pas oublier les versions bien plus anciennes de ce conte dont la première daterait du II ème siècle.
L’histoire diffère légèrement de la guimauve proposée par Walt, abordant des thèmes comme l’amour et la rédemption. Alors, simple adaptation cinématographique ou film à part entière ? Pour en avoir le cœur net, nous sommes allés nous enfermer dans les salles obscures du Pathé Chavant, un paquet de Kinder Bueno à la main acheté plus tôt à la supérette du coin (rien de très féerique pour l’instant…). Bercé par le dessin animé, nous ne pouvons nous empêcher de vouloir tout comparer. Cependant, dès la première scène, la voix envoûtante de Lea Seydoux nous fait perdre nos repères et nous plonge dans son histoire la tête la première, nous faisant oublier tous nos préjugés.
Le réalisateur reste fidèle à lui-même, sa marque de fabrique étant l’esthétique des images, toutes en contrastes ici, tant en termes de couleurs que de textures : les sabots d’un cheval noir comme l’ébène foulant le sol drapé d’une neige immaculée, le souffle de la cape de velours rouge de Belle dans la forêt, le frémissement d’un buisson de roses veloutées, les robes de princesses plus féeriques les unes que les autres…
Bref, un vrai concentré de magie qui nous fait ressortir à la lumière du jour des étoiles pleins les yeux! On applaudit le choix du réalisateur de nous dévoiler la vie du prince avant d’être transformé en bête, par le biais d’un jeu habile de flash-backs incessants. Les effets spéciaux ne sont pas en reste et on se croirait presque dans un film d’action. Quant au jeu des acteurs, on ne décernera pas d’oscar mais un réel plaisir de retrouver Léa Seydoux, Vincent Cassel, André Dussolierou encore Audrey Lamy au top de leur forme. Enfin un film français qui n’a rien à envier aux blockbusters américains !
La fête que tous les cinéphiles attendent avec impatience est d’ores et déjà lancée! Depuis hier, tous les billets de cinéma ne coûtent que 3 euros 50 dès la première séance (contrairement aux années précédentes où l’on devait d’abord acheter sa place au plein tarif avant de profiter de l’offre). Aucune raison de se priver donc !
Vous aurez l’embarras du choix entre tous nos cinémas : Le Pathé Chavant pour les amateurs de sensations fortes et de grandes salles bien insonorisées, le Rex pour les plus discrets qui pourront se lover dans leur fauteuil sans risque d’être repérés, le Club ou la Nef pour les inconditionnels de VO, et enfin le Méliès pour les amateurs de cinéma d’auteur. Avec ça, vous ne pourrez pas dire que vous ne l’avez pas vue passer, cette fête!
Nous n’avons pas échappé à la règle et sommes allés nous enfermer dans les salles obscures pour vous offrir notre sélection:
La 3D n’apportant pas grand chose de plus, nous vous conseillons d’épargner votre porte-feuille et d’acheter votre place en 2D. Un début de film dans une ambiance « Star Trek » captivante et nous voilà happés par l’histoire, suivant les péripéties du vilain petit canard qu’à pu être Superman dans son adolescence. Entre flashbacks et retours à la réalité, le film se déroule tranquillement, sans que nous ne sortions notre smartphone pour consulter l’heure. Les scènes de bataille deviennent cependant quelque peu ennuyeuses au fur et à mesure de notre progression. Difficile de juger la performance des acteurs vu le peu de dialogues existant, mais le casting est plutôt bien choisi : Henry Cavill dans le rôle de Superman (les filles, vous allez être aux anges!), Amy Adams dans celui de Lois Lane et des vétérans comme Kevin Costner ou Russel Crowe se partageant les rôles paternels. Une bande originale de Hans Zimmer agréable mais un peu timide. Un film qui ne mérite pas la palme d’or, certes, mais qui s’avère plutôt divertissant.
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Certes ce n’est pas l’humour fin et émouvant qu’on a connu avec « Intouchables » qui nous pousse à sourire ici. Cependant, ce troisième opus a du potentiel. Bien moins grossier que le deuxième, le petit dernier de la saga dépeint Zach Galifianakis (le barbu de la bande) en maître incontestable. Grâce à son jeu d’acteur remarquable, il porte le film à lui tout seul sur ses épaules grassouillettes. Le scénario est plutôt bien ficelé, et pendant un temps nous pensons enfin échapper à un énième Vegas… Ce serait mal connaître Todd Phillips (le réalisateur), qui nous embarque dans une longue chevauchée fantastique au beau milieu de la tour Eiffel et du Greek Palace. Le film s’achève (encore) sur un black-out et on se demande quand même si une suite n’est pas au programme. Mais toutes les bonnes choses ont une fin et là, il faut vraiment que ça s’arrête. En bref, un bon moment de franche rigolade à voir entre amis.
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Pour les retardataires, courez vite voir ce film encore à l’affiche, avec son décor fastueux et son casting de choc! Un Léonardo Dicaprio au sommet de son art, une BO à couper le souffle et des décors somptueux digne des milles et une nuits. Ceux qui ont lu le chef d’oeuvre de Fitzgerald laisseront Baz Luhrman (le réalisateur) leur proposer sa version, quant aux néophytes, ils se laisseront bercer par le cours de l’histoire, mêlant mystère, amour et tragédie. Le roman est suivi à la lettre, mais nombreux sont les détracteurs qui diront qu’il est quelque peu esquinté par le budget colossal alloué à ce projet. Quoiqu’il en soit, cette énième adaptation mérite qu’on s’y attarde car elle est définitivement dans l’air du temps!
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Le dernier film de Sofia Coppola n’a rien en commun avec ses petits frères. La réalisatrice s’est inspiré d’un fait divers apparu dans les années 2008-2009 mettant en scène un groupe de jeunes adolescents inconscients, rêvant de vivre la vie de leurs stars préférées, braquant à n’en plus finir les villas des people en quête de bijoux, chaussures, vêtements de luxe, argent ou encore médicaments douteux. Les médias de l’époque ont baptisé ce gang « The Bling Ring » en référence à la nature des objets subtilisés. Une fois le scénario posé, on n’est pas surpris le moins du monde puisqu’on connaît la chanson… La première scène achève de tuer le suspense puisqu’il s’agit d’un flash-back dans le présent. Les braquages se suivent et se ressemblent et on reste un peu sur notre faim. En revanche, le jeu des acteurs est plutôt bon et on tremble avec eux à chaque cambriolage. Quel plaisir de retrouver Emma Watson dans un autre registre!
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Un joli compte attendrissant, un scénario bien ficelé, pour le plaisir des plus petits comme des plus grands. Ici, la 3D est plutôt réussie et on se délecte des effets « spéciaux » plus spectaculaires les uns que les autres (à la fin du film, on se croirait immergé avec les deux protagonistes dans un océan translucide). Les « mignons », petits personnages jaunes surexcités arrivent à nous arracher quelques fous rires, en bref, on ne s’ennuie pas une seule seconde! Un belle animation qui redonne le moral, avec en prime les voix de Gad Elmaleh et Audrey Lamy.
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