Le Petit Grenoblois joue les starsMerci à ZoomOn Grenoble pour ce bel article. N’hésitez pas à aller parcourir ce joli blog national, qui vous proposera quelques bonnes adresses à Grenoble mais aussi dans une autre ville de votre choix !
http://blog.zoomon.fr/interview-grenoble-janvier/
UN FILM EXPLOSIF!Les Nouveaux Sauvages, c’est un film surprenant, hilarant, parfois violent mais jamais ennuyant !
On connaît tous des situations de la vie quotidienne qui nous font dresser les cheveux sur la tête, sans pour autant oser monter sur nos grands chevaux. Dans ce film, c’est bien le contraire, et les personnages, sans aucun lien les uns entre les autres si ce n’est un pétage de plomb monumental, n’hésitent pas à passer à l’acte en nous arrachant rires jaunes et fou-rires incontrôlés!
Les acteurs, aussi bons les uns que les autres, nous mènent à la baguette dans leur univers déjanté, et nous surprennent à chaque fois que la chute approche. Le réalisateur aime brouiller les pistes et on ne sait plus où donner de la tête après la première séquence, nous laissant surprendre avec plaisir là où on ne s’y attend pas, un des aspects délectables de ce film auquel on ne sait quelle catégorie lui attribuer. Morale : ne vous énervez pas pour si peu, ça pourrait rapidement s’empirer…
Un film qui sort de l’ordinaire, à voir absolument (en VO c’est encore meilleur!).
I’MQuand il neige en montagne, il pleut à Grenoble…
L’idée de ressortir vos vieilles bottes en caoutchouc et K-ways difformes vous donne déjà des boutons? Inversez les tendances et osez la transparence! Avec un imperméable en vinyle invisible, vous allez faire des jaloux… Et pouvoir vous habillez comme une reine en l’affichant au grand jour! Votre garde-robe n’en sera que plus reconnaissante.
Et pour éviter le look pêcheur, investissez dans un spray imperméabilisant qui vous permettra de chausser vos plus belles paires d’escarpins sans craindre le déluge.
Goutte, vous avez dit goutte ?
Tentez de remporter le jeu-concours du mois de janvier en répondant simplement à cet article.
Chaque mois, c’est le même refrain ! L’un de nos reporters s’est encore perdu dans Grenoble… Parc Paul Mistral, Cours Jean-Jaurès, Caserne de Bonne ou Porte de France, parviendrez-vous à le retrouver en nous indiquant le lieu exact où a été pris la photo ? Le/la grenoblois/e qui percera ce mystère bénéficiera d’une interview exclusive publiée dans la catégorie L’interview du Mois… Le moins que l’on puisse faire pour avoir retrouvé notre journaliste en herbe !
Pour jouer, répondez simplement à ce jeu-concours en déposant votre commentaire ou rendez-vous sur notre page Facebook en cliquant ici.
Que le meilleur grenoblois gagne !
PASSEZ INAPERÇUE, POUR UNE FOIS !
A l’approche de Noël, on s’engouffre dans les embouchures des boutiques grenobloises qui nous accueillent les portes grandes ouvertes en nous faisant les yeux doux. On cherche tant bien que mal le cadeau idéal avec notre budget assez serré, tâche qui s’avère plutôt difficile…
Ajoutez à cela la marée humaine qui se bouscule au moindre effleurement et vous obtiendrez un parcours du combattant version 2.0.
Pour entreprendre l’opération, revêtez votre plus belle tenue de camouflage et cachez-vous derrière un camaïeu de gris qui vous permettra de ne pas vous faire repérer par d’éventuels amis bavards qui ralentiraient la tâche.
Un joli manteau aux coupes épurées assorti à un slim noir et des bottines de la même couleur seront les parfaits alliés pour vous préparer à affronter les citadins déchaînés.
Un sac XXL dissimulera toutes vos trouvailles, bien au chaud à l’abri des regards curieux qui oseraient vous piquer vos idées ingénieuses. Quelques touches de couleur auraient été les bienvenues, un risque à prendre qui contribuera peut-être à vous démasquer…
On s’emmitoufle à perdre souffle !
Avec le temps morose des jours qui raccourcissent, on a envie de se glisser sous la couette et de n’y ressortir que lorsque le soleil printanier fait sa première apparition !
A défaut d’hiberner, on peut toujours s’emmitoufler dans une grosse doudoune en plumes qui nous apportera la chaleur intérieure des jours d’été… Et quoi de mieux que la couleur en plus!
Un beau Bordeaux comme celui que porte cette jeune grenobloise nous donne envie de sortir plus souvent! Avec une capuche en fourrure, nous voilà prêts à affronter les tempêtes de neige sur les quais de France, ventés à souhait.
La combinaison jean slim noir + bottines en beau cuir est un choix judicieux pour rester au chaud en toutes circonstances!
Un gros bonnet ne serait pas de trop, et on le choisit à motifs pour donner un grain de folie à cette tenue toute en sobriété.
A L’APPROCHE DES FÊTES, NOUS AVONS SECTIONNÉ POUR VOUS DES PARFUMS QUI ONT RETENU NOS SENS. UN JOLI CADEAU À OFFRIR À LA PERSONNE AIMÉE, À SES PARENTS OU À SES ENFANTS. DES SENTEURS ENIVRANTES QUI VOUS FERONT OUBLIER LA RIGUEUR DE L’HIVER.
Escale à Portofino, Dior Un jus frais et féminin, sensuel mais pas trop, pour les jeunes filles en fleur à vélo, les cheveux dans le vent. Ses 16 essences naturelles luxueuses (dont prédominent les notes de bergamote et de fleur d’oranger) sont un délice pour les sens. L’intitulé du parfum n’est pas choisi par hasard et on retrouve dans ses ingrédients des fleurs principalement issues du Sud de L’Italie. Un régal!
Un parfum frais et floral, léger comme un éclat de rire, qui met tout de suite de bonne humeur! Chic sans trop en faire, il sublimera toutes les peaux, à n’importe quelle saison. Des notes d’agrumes parfaitement mariées aux fleurs délicates des jardins anglais feront de ce parfum un allié bien-être en toutes circonstances !
Un parfum girly tout en douceur qui donne des envies de cocooning! Avec sa bouteille épurée et ses courbes arrondies, on craque pour ce parfum léger qui nous rappelle nos échanges linguistiques… Un parfum fille mais très mature qui peut se porter à 20 ans comme à 40. Ses notes florales et fruitées égayeront toutes vos journées maussades!
Une senteur puissante mais toute en finesse, chaleureuse mais audacieuse, qui se porte en soirée comme au boulot, avec un costard cravate ou un jean brut. Le Mâle saura retenir l’attention de qui oserait passer dans son sillage. Ses notes boisées dissimulées sous un bouquet floral de musc et de vétiver les rendront toutes accrocs!
Un parfum boisé, puissant et aromatique qui se transforme au fil de la journée telle une fleur qui éclot. On ne s’en lasse pas! La bouteille est sobre mais prestigieuse et trônera tel un objet d’art dans votre salle de bain. Ses notes florales et épicées ne s’oublient pas. Un parfum chic pour un homme qui sait ce qu’il veut.
Le parfum le plus vendu à Grenoble ! Un classique qui plait à tout le monde. On est tout de suite conquis par ses notes ambrées et fruitées dans lesquelles transpercent des senteurs de pomme, de cannelle et de clous de girofle. Un vrai parfum de Noël, pour les hommes discrets qui veulent plaire sans en faire trop.
STOP AUX VOLS DE VÉLOS !
Quel grenoblois n’a pas eu la triste expérience de rentrer d’une soirée bien arrosée, dans l’obligation de faire plusieurs tours de la même rue en se demandant si l’alcool ne lui jouait pas des tours quant à l’endroit où l’attendrait son vélo ? La vérité, plus cruelle, le fera rapidement décuver…
On n’espère cependant pas que la majorité des grenoblois se sont déjà fait voler leur vélo (sans compter ceux qui n’en n’ont pas), mais cette pratique est devenue un véritable fléau et nombreux sont ceux qui en ont été les victimes. Attaché ou pas, le combat est le même. Marion, 29 ans, n’a pas son permis de conduire et nous affirme circuler exclusivement en vélo :
Le vélo est mon moyen de transport principal, je le prend pour me rendre au boulot, faire mes courses, aller au cinéma ou sortir en ville. Je ne peux pas concevoir d’en être privée! Je me suis déjà fait volé un vélo il y 5 ans, mais c’était un peu de ma faute, je l’avais mal attaché… Aujourd’hui je fais beaucoup plus attention car les vols sont monnaie courante, et je ne pourrais m’en passer!
Il est vrai que Grenoble est une ville modèle en matière de déplacements à vélos, elle compte parmi celles où l’on pédale le plus (et rentre même dans le top 5) grâce à ses nombreux aménagements cyclables qui se poursuivent en dehors de l’agglomération. Nous ne sommes plus surpris de voir, le matin de bonne heure, tout un escadron de cadres supérieurs, secrétaires et salariés enfourchant leur monture à deux roues à l’assaut des pistes cyclables menant aux divers Schneider Electric dont la ville est (bien) pourvue, à Montbonnot, Meylan ou Europole, ou encore à Echirolles et même jusqu’à Seyssinet. Les pistes sont fluides et bien balisées, épargnant les embouteillages, tout en faisant bénéficier à ses utilisateurs d’un exercice quotidien bénéfique ainsi que d’un grand bol d’air frais ! Sans compter le cadeau offert à la planète.
Mais risquerait- on de voir de moins en moins de vélos circuler dans notre ville en raison des vols qui augmentent au fil des années? Les grenoblois rechigneraient-ils, au bout de plusieurs vols, à racheter un biclou ? On ne l’espère pas…
Adrien, 35 ans, ex-propriétaire d’un vélo vintage entièrement retapé volé il y a quelques mois, enrage toujours en y repensant :
Je me suis fait volé mon vélo pendant que j’étais au cinéma à Chavant. Quand je suis sorti, il ne devait pas être plus tard que minuit et les rues étaient loin d’être désertes. Je l’avait bien cadenassé pourtant… Ce qui m’attriste, c’est que j’avais passé beaucoup de mon temps dessus, à refaire les poignées, retaper le cadre, commander une nouvelle selle en Angleterre… C’est triste, on ne peut plus avoir de beau vélo ici… Je vais bien sûr m’en racheter un, car c’est tellement pratique pour circuler en ville, mais je vais être obligé d’en choisir un banal, qui ne sautera pas à l’œil d’un voleur potentiel. C’est triste car ça veut dire qu’ils ont gagné.
Alors, pour que Grenoble ne perde pas ses cyclistes, préparons-nous et entraidons nous : on ne jettera pas la première pierre à celui qui a été l’acteur passif d’un vol de vélo, mais, dans la mesure du possible, si l’on est bien entouré et que le voleur ne semble pas dangereux, on peut tenter d’aller faire justice, ou du moins, de faire un photo ou une vidéo.
On investit pour son propre vélo dans un cadenas résistant, de préférence en « U » (on n’a toujours pas fait mieux), quasiment incassable. On prend le soin d’attacher son cadenas avec le cadre et au moins une roue. Et on évite de laisser son biclou isolé pendant plus d’un jour. Si cela ne suffit pas et que vous êtes le malheureux élu, ne rechignez pas à vous rendre au commissariat le plus proche, qui vous délivrera un certificat de vol, non négligeable si vous retrouvez votre vélo dans un vide- grenier quelques mois plus tard…
VOUS AIMEZ LA NATURE ? LES ANIMAUX ? LE SPORT VOUS AIMEZ LA NATURE ?
En ce court dimanche hivernal, nous sommes allés dompter le vent glacial qui s’engouffrait dans les sapins des environs de Champagnier, sur le dos de la plus belle conquête de l’Homme.
Après avoir débarrassé notre monture de toutes les imperfections collées à son pelage maintenant soyeux, nous déposons une selle en cuir sur son dos, qu’on rêverait de voir enveloppée d’une peau de mouton, d’un plaid en laine ou toute autre matière molletonnée susceptible de nous rendre un peu de chaleur par ce temps glacial. On fait ensuite gentiment ouvrir la bouche de notre cheval pour y glisser furtivement le mors et son filet auquel sont reliées les rênes qui permettront de le guider à travers la campagne environnante. Après avoir revêtu un casque et une paire de gants, nous nous hissons sur notre fidèle destrier, gagnant vite quelques bons centimètres de haut, parés pour affronter vents et marées!
Le pas régulier de notre cheval ferré retentissant sur le macadam nous fait voyager à travers les âges et on se surprend à rêver de chevauchées fantastiques et de grands moments d’héroïsme. La campagne semble infinie et nous jouissons d’un panorama sublime sur la région, les montagnes en toile de fond, nous enveloppant de tous les côtés de leurs manteaux encore timides.
Nous pénétrons dans un chemin bordé de grands arbres bienveillants qui semblent nous indiquer la direction. Un petit trot plus tard et nous voilà réchauffés, ignorant maintenant les menaces du frimas. Nous gagnons ensuite le mignon petit village de Champagnier et nous arrêtons pour prendre la pose. Notre cheval impatient écourte ce shooting en plein air pour reprendre notre cavalcade de plus belle.
On s’engouffre maintenant dans un bois sombre qui oblige notre cheval à ouvrir ses yeux doux en raison de l’obscurité qui commence à s’épaissir. Ce n’est pas un problème pour l’animal, qui commence à sentir le chemin du retour et l’avoine qui l’attend sagement à l’écurie !
Nous profitons des dernières lumières du jour pour entreprendre un dernier trot. Quel bonheur à présent de sentir la fraîcheur du vent venant nous fouetter le visage, dominant la vallée maintenant plongée dans l’obscurité. Presque seuls au monde, fiers comme Artaban sur notre boule de poils toute chaude, on ne peut que tomber amoureux de ce noble animal qui nous donne le meilleur de lui-même à chaque foulée. Une belle leçon d’humilité…
VOYEZ L’HIVER EN BLEU MARINEAh, le bleu, quelle teinte empreinte de poésie… Cette couleur froide mais pas ennuyeuse, sobre mais plus chic que le noir, renvoie aux vagues menaçantes que viennent fendre un vieux gréement les jours de tempête, aux cabans des marins brestois et aux yeux délavées de nos jolies blondes…
Mesdames, autant que Messieurs, n’hésitez donc pas à en user et en abuser, on ne vous en tiendra pas rigueur ! Portez-le en total look, sur un costume, caban, robe, collants, chaussures, bref, il n’est pas difficile et se marie avec presque toutes les couleurs.
Le bleu marine, une couleur qui ne donne pas le blues!
UNE FABLE SF BIEN FICELÉE
Interstellar, à première vue, ça nous fait vaguement penser à un remake de Gravity, sans la 3D et avec un peu plus de scénario… Tout laisserait croire au blockbuster américain, effets spéciaux à gogo et testostérone à profusion sur fond d’histoire d’amour un peu fleur bleue. Mais c’était mal connaître ce cher Christopher Nolan, pas américain pour un sou (on tient à rappeler aux non-initiés qu’il a poussé son premier cri à Londres).
Avec un casting de choc porté par un Matthew McConaughey au sommet de son art, des paysages cosmiques à couper le souffle et une bande originale épurée, on en a pour notre argent ! On embarque dans la navette comme si on y était (Nolan réussit à prouver que la 3D ne régit pas le monde du septième art) et on s’envole pour trois heures d’émotions fortes, les mains cramponnées à notre siège molletonné comme si on décollait pour la première fois. Le scénario scientifico-fictif fait écho aux premiers films de Spielberg et la réalité prend le pas sur la fiction de manière très naturelle. On y croirait presque !
On remercie le scénariste d’Inception de nous épargner une énième fable extra-terrestre qui commence à nous lasser et on accueille avec curiosité une nouvelle théorie pour le moins surprenante. On ressort de ce voyage autour du cosmos assez perplexe, une foule de questions métaphysiques venant se bousculer aux parois de notre boîte crânienne !
Un film magistral qui, plus qu’une super- production aux rebondissements incessants, nous donne du fil à retordre et nous fait réfléchir … A ne pas manquer !
PRENONS LE LARGE
Une brise marine souffle sur Grenoble malgré l’absence d’océan… En effet, le bleu marine est à l’honneur dans les rues grenobloises et on le croise sur tous les citadins branchés, par touche subtile ou de la tête aux pieds !
Plus chic que le noir, il est très tendance cet hiver et se marie parfaitement avec les teintes chocolat, caramel ou noisette, gourmandes à souhait ! On peut aussi choisir de l’assortir à des teintes plus gaies comme le rouge bordeaux ou le vert bouteille. En revanche, on évite le noir qui n’est pas son meilleur allié (on risque de confondre les deux concurrents…). Pour un look encore plus raffiné, on mise sur du doré en touches légères (les boutons d’un manteau par exemple).
On craque pour ce joli caban parfaitement coupé, paré d’un col en mouton tout doux qui nous promet un hiver bien au chaud. Les boots camel bicolores donnent à la tenue un petit côté british et on se voit déjà sur les docks de Liverpool, une pinte de Pale Ale à la main en attendant l’ouverture du Cavern Club pour aller applaudir les successeurs des Beatles !
UN CONCERT COSMIQUE
Hier soir s’est tenu le concert de The Dø à la MC2 qui célébrait pour l’occasion ses 10 ans, déjà. Nous avons été gracieusement invités à assister à cette envolée électronique pour le moins cosmique !
C’est avec un léger retard que nous pénétrons dans ce semblant de paquebot en béton qu’apparaît la MC2 vue de l’extérieur. Après avoir traversé un large couloir en verre et dévalé un escalier suspendu au pas de course, nous débouchons dans un hall animé où notre odorat détecte des effluves de crêpes bretonnes mêlées à des arômes subtils de rosé.
Nous manquons de peu la première partie orchestrée par le groupe français Sage, et avons juste le temps de nous faufiler entre les spectateurs déjà au rendez-vous dans une salle Rizzardo pleine à craquer. L’attente est à son comble et les applaudissements ne manquent pas lorsqu’Olivia fait son entrée sur scène, toute de rouge vêtue dans sa combinaison de cosmonaute déjanté.
La déco pour le moins surprenante – de longs cheveux blonds s’ouvrant sur les musiciens comme un rideau translucide – nous embarque dans un monde mystérieux et poétique, tout en finesse et douceur mélancolique, à l’image des titres qui se succèdent. Après une entrée en matière réussie avec le single Keep your Lips Sealed issu de leur dernier album Shake Shook Shaken, The Dø continue de nous faire rêver avec des sons électros aussi planants les uns que les autres.
La voix angélique d’Olivia nous fait perdre la notion du temps et nous propulse dans une autre dimension où l’on quitte la terre ferme pour se retrouver en apesanteur tels des explorateurs de l’espace. Les cheveux d’ange se parent de mille teintes scintillantes, nous éclaboussant de couleurs et semblant nous caresser de ses ondulations régulières. On en prend plein la vue et on se demande même si on ne commence pas à halluciner lorsque l’on voit apparaître sur le devant de la scène un reptile couleur jade, guitare fluorescente à la main, tel un Maître Yoda revisité.
On aurait aimé halluciner un peu plus longtemps…
