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Plus qu’un musée, il s’agit d’un appartement, celui du Docteur Gagnon,
grand-père de Stendhal, qu’il a occupé de son vivant.
Coincé entre deux boutiques de la Grande Rue, on passe devant sans vraiment y prêter attention, ignorant le secret qui se cache derrière cette belle porte en bois massif. Lorsqu’on lève les yeux, on aperçoit l’inscription Appartement Gagnon sur un panneau vermillon.
Nous commençons l’ascension de la cage d’escaliers dont les jolis réverbères suspendus nous propulsent dans un autre temps. Avant d’atteindre le troisième étage tant convoité, nous observons un pan de mur sur lequel est dessiné un plan de l’appartement qui va suivre, croquis réalisé par Stendhal lui-même, qui ne cache pas sa passion pour le dessin.
Une porte qui grince, et nous franchissons le seuil de cet appartement cossu aux murs rouge sang dont le parquet rutilant crisse sous nos talons. Nous ne vous gâcherons pas la surprise en vous dévoilant ce qui vous attend à l’intérieur mais nous vous invitons seulement à ne pas rater la treille, terrasse tout en longueur dont les pergolas romantiques lui donnent un charme certain. Une fenêtre qui s’ouvre sur la ville et son jardin, envahi en juillet par les festivaliers du Cabaret Frappé.
Nous vous conseillons de vous joindre à la visite guidée, proposée trois jours par semaine ainsi que le samedi, afin de découvrir les moindres recoins de la vie de l’auteur de la Chartreuse de Parme. Savez-vous d’ailleurs d’où vient le pseudonyme Stendhal ? De son nom Henri Beyle, cet écrivain surdoué et perfectionniste a d’abord été combattant dans l’armée de Napoléon. Amené à réaliser plusieurs expéditions à travers l’Europe, il séjournera dans la petite ville de Stendhal, en Allemagne, qu’il appréciera particulièrement. Un genre d’anecdote que vous pourrez découvrir dans cet appartement chargé d’histoire, que tout grenoblois qui se respecte se doit d’avoir visité !
Musée Stendhal
20 Grande Rue
38000 Grenoble
04 76 86 52 08
Saint Vincent, un nom pieux pour une cuisine pas dévote pour un sou ! Touche frenchie dans une rue conquise par les italiens, ce joli restaurant tout de pierres vêtu nous accueille à partir du mercredi dans un esprit bistro artistique et nous rouvre ses portes le dimanche avec de délicieux brunchs maison.
Sa déco chaleureuse qui prend des airs d’atelier nous met tout de suite à l’aise et on aime se lover dans les banquettes en cuir disséminées autour des tables situées à l’étage. Une jolie terrasse aux grands murs en pierre se dévoile lorsqu’on monte l’escalier, et on se voit déjà, à l’arrivée des beaux jours, siroter un verre de vin blanc l’esprit rêveur, guidé par le parfum des roses entrelacées aux plantes sauvages qui donnent à ce lieu paisible des accents romantiques tout droit sortis d’un roman anglais.
Les amateurs de bonne viande apprécieront le burger maison enveloppé de ses frites croquantes à souhait. Les brunchs vous raviront le palais les lendemains de fête, et on vous recommande la formule spéciale qui contient tout ce dont un british qui se respecte a besoin le matin. Le bagel au saumon est un délice pour les sens, mais, victime de son succès, difficilement disponible… Commandez-le sans attendre !
On y vient en famille, en couple ou entre amis, un dimanche de pluie après une excursion touristique au Musée Archéologique Saint Laurent !
Le mois de mars en a sous le talon ! Premier mois du printemps pour certains, mois des giboulées pour d’autres, c’est aussi celui de la Saint Patrick pour tous les amateurs de bière.
Les rues aux abords des pubs de la ville commencent à se peupler dès la fin de la journée, nous donnant à voir un joli spectacle : du vert comme s’il en pleuvait, sur les chapeaux haut-de-forme décalés des jeunes buveurs insouciants, sur les perruques fluo des adolescents, sur les robes des filles qui n’ont pas froid aux yeux ou encore par touches sur le visage de certains audacieux…
Le vert, sous toutes ses nuances, est à l’honneur en ce mois de mars. Profitez-en, il paraîtrait qu’il amène le printemps ! Sortez vite de vos placards vos baskets menthe à l’eau, vos robes émeraude, vos pulls sapin, vos manteaux impérial ou vestes kaki et arborez fièrement vos couleurs porte-bonheur pour danser toute la nuit au son d’une harpe celtique. Green is the new black !
Ouvert tous les soirs depuis plus de dix ans, ce pub à la devanture enlacée par une épaisse verdure nous propulse en plein cœur d’une Irlande chaleureuse et fêtarde, où la bière coule à flot à l’heure du tea time.
Sa déco digne des plus grands pubs irlandais fait s’affronter tableaux en bois et panneaux en fer aux accents vintage, dévoilant sur un parquet aux teintes passées des tonneaux aux formes généreuses faisant office de tables rondes. Dans cet univers celtique où se côtoient étudiants, cadres dynamiques, étrangers ou sportifs, la bonne ambiance est à son comble, et ça s’entend ! Quittons ce joyeux brouhaha un instant pour descendre déguster notre pinte de Guinness dans le mignon petit jardin qui nous accueille toute l’année jusqu’à une heure moins le quart. On en oublierait presque la ville qui nous entoure.
Le soir de la Saint Patrick, événement le plus attendu de tous les bièrophiles, on est autorisé à s’établir de part et d’autre de la place de Berulle, nous permettant d’admirer les immeubles aux accents italiens de l’autre côté de l’Isère, dans une nuit peuplée de cris de joie et d’ivresse qui leur donne un tout autre visage.
Les amateurs de rugby seront ravis d’apprendre que les matches qu’ils attendent avec la plus grande impatience sont rediffusés sur grand écran. Quant aux amateurs de fléchettes, ils ne seront pas en reste, pouvant venir tester leurs talents sur l’une des cibles fièrement accrochées au mur. Fort de son succès, le O’Callaghan a récemment ouvert un restaurant de burgers, situé juste en face. Une judicieuse idée qui ravira les buveurs affamés.
Big Eyes, c’est le nouveau film de Tim Burton, inspiré de la vie pleine de rebondissements de l’artiste peintre américaine Margaret Keane. Cette dernière, jouée par une Amy Adams qui a troqué sa longue chevelure rousse contre un carré blond à la Marilyn, est une artiste non reconnue et mère au foyer soumise en quête de liberté.
Bridée par ses maris et n’osant jamais s’imposer (même si elle réussit à divorcer dans une époque où les mœurs l’interdisent), elle va aller jusqu’à accepter l’impossible pour satisfaire les désirs de son nouveau conjoint, campé par l’excellent Christoph Waltz. Une histoire vraie difficile à croire et plutôt bien racontée par notre réalisateur déjanté malgré quelques longueurs, seule ombre au tableau.
Dans une Amérique des années 60, on voyage entre Hawaï et San Francisco, confortablement installés à l’arrière d’une voiture colorée tout droit sortie d’un décor de Grease. Au bout de quelques minutes, la barrière temporelle s’efface tant la modernité prime sur le reste et on se sent appartenir à cette époque révolue, tremblant avec cette femme pleine de paradoxes, à la fois forte et faible, sensible et invincible, qui a mis trop longtemps à dévoiler son talent.
L’univers burtonnier se retrouve dans les tableaux de Madame Keane, révélant des fillettes aux grands yeux tristes qui nous fixent depuis des décors sombres et mystérieux. Malgré tout, on ressent un léger changement dans la manière d’aborder ce film, moins déjanté que ses petits frères, sortant du monde de l’imaginaire que le réalisateur de Charlie et La Chocolaterieaffectionne tant (il s’agit ici de son deuxième biopic, vingt ans après Ed Wood). Le grain de folie des débuts s’est transformé en un projet plus mature et réfléchi. Tim Burton aurait- il grandi ?
Depuis l’extérieur, la grande baie vitrée nous laisse entrevoir une déco épurée aux accents scandinaves très actuels. A l’intérieur, nous sommes chaleureusement accueillis par le serveur qui s’avère aussi être le gérant de l’établissement.
Nous prenons place sur une petite table, près d’un miroir aux moulures dorées d’un temps révolu. Ouvert depuis seulement trois mois, ce petit restaurant au volume toutefois plus que respectable (derrière le bar, se cache un étage intimiste où les groupes seront comblés) nous réserve bien des surprises !
Au menu, une carte épurée proposant une cuisine de saison avec du tout fait maison. Que rêver de mieux ? Le prix des menus du soir sont très corrects au vu des produits servis. Nous nous laissons tenter par des samossas croquants aux saveurs exotiques dont nous ne vous révélerons pas le secret ! Une cuisse de lapin et ses fruits moelleux plus tard et notre palais, ravi, en redemande ! Ce sera donc une crème brûlée à la poire qui nous enchantera par sa légèreté et son goût quelque peu original. Les amateurs de bonne viande seront également conquis par l’entrecôte au poivre à la cuisson parfaitement maîtrisée.
En bref, un restaurant qui gagne à être connu. N’hésitez pas à y faire une halte après votre séance ciné !
La Voisine
1 rue des Bons Enfants,
38000 Grenoble
04 76 87 31 85
Ça y est, le soleil sort de sa période hivernale et nous apporte la douceur du mois de mai en avant première ! Terrasses prises d’assaut, robes légères, invasion de vélos, le printemps pointe timidement le bout de son nez.
Cette jolie grenobloise au look décontracté a troqué ses bottes fourrées et écharpes molletonnées contre un joli slim court et des derbies évasées. Une belle initiative quelque peu risquée une semaine après l’épidémie de grippe qui a frappé la France entière…
Des jolies créoles dorées aux oreilles et voilà un look androgyne féminisé en un clin d’œil ! On aime le perfecto noir sur un simple tee-shirt mais ce dont on raffole, ce sont les chaussures, qui semblent tout droit venues de la fabrique Crockett & Jones dans la campagne anglaise de Northampton, et qu’on lui piquerait bien !
Le parfait look printanier pour arpenter les rues de Grenoble repeuplées par la douceur du mois de mars, qui nous donne l’envie de lézarder toute la journée ! Une hirondelle ne fait pas le printemps…
CE MOIS-CI, CE SERAIT PLUTÔT DEUX GRENOBLOIS, DEUX RESTOS… NOUS AVONS RENCONTRÉ CE JEUNE COUPLE SYMPATHIQUE AUTOUR D’UN VERRE A L’AS DE PIQUE, INSTALLÉ DEPUIS QUELQUES ANNÉES A GRENOBLE.
Quel est votre restaurant préféré à Grenoble?
Elle : C’est assez difficile… Je dirai la Bocca Felice, rue Hauquelin. Lui : Le Saint- Pierre, caché sur le boulevard qui mène au Décathlon de La Tronche.
Pouvez-vous nous décrire l’ambiance ?
Elle : La déco est dans l’esprit brocante, très italienne avec ses grands carreaux pailletés au sol. La gérante du restaurant est artiste peintre donc il y a beaucoup de ses tableaux à l’honneur. C’est très artistique. C’est un restau dans lequel je me sens bien. Lui : La déco est classique et sobre mais on s’y sent bien, et au calme. Comme c’est une maison, ça fait très familial, on s’y sent comme chez nous. Il y a même un jardin!
Quel est le style de cuisine proposée ?
Elle : Cuisine italienne, comme vous vous en serez douté! Tout est fait maison même les desserts. Les pains délicatement parfumés à l’huile d’olive sont vraiment réussis. La carte des vins italiens est également très bien choisie. Lui : C’est un restaurant de poissons, qui change un peu des restaus à viande. La meilleure adresse à mon avis pour manger ce type de cuisine pas toujours très à l’honneur à Grenoble. Les poissons sont servis entiers et les sauces qui les accompagnent sont délicieuses.
Un plat à nous conseiller ?
Elle : Raviolis à la ricotta et aux épinards, un vrai régal ! Lui : Le Saint Pierre grillé accompagné de ses légumes vapeur et sauce à l’oseille.
Un dessert?
Elle : Glace à la vanille maison, un régal! Lui : Les profiteroles maison qu’il faut réserver à l’avance car elles ne figurent pas sur la carte. La pâte à choux est un délice!
Qu’en est- il du personnel ?
Elle : Le personnel est italien et très chaleureux, on est super bien accueillis! Lui : Bon enfant, personnel très sympathique dans une ambiance très familiale.
Et niveau prix?
Elle : Le rapport qualité prix est vraiment top, tout est très bien pensé de A à Z, je recommande! Lui : Le rapport qualité prix pour un restaurant de poissons, toujours un peu plus chers que les autres, est très correct.
Tentez de remporter le jeu-concours du mois de mars en répondant simplement à cet article.
Chaque mois, c’est le même refrain ! L’un de nos reporters s’est encore perdu dans Grenoble… Parc Paul Mistral, Cours Jean-Jaurès, Caserne de Bonne ou Porte de France, parviendrez-vous à le retrouver en nous indiquant le lieu exact où a été pris la photo ? Le/la grenoblois/e qui percera ce mystère bénéficiera d’une interview exclusive publiée dans la catégorie L’interview du Mois… Le moins que l’on puisse faire pour avoir retrouvé notre journaliste en herbe !
Pour jouer, répondez simplement à ce jeu-concours en déposant votre commentaire ou rendez-vous sur notre page Facebook en cliquant ici. Que le meilleur grenoblois gagne !
ELISE, NOTRE GRANDE GAGNANTE DU JEU-CONCOURS DU MOIS DE JANVIER NOUS LIVRE SES ADRESSES PRÉFÉRÉES A GRENOBLE.
Tu as gagné le jeu-concours de ce mois-ci, preuve que tu connais bien Grenoble! Es-tu vraiment pur souche?
Oui! Je suis née à Grenoble donc je connais bien, même si je n’ai jamais habité au centre mais dans l’agglomération. Je ne suis pas une pure citadine…
Quelle est ton adresse préférée pour un déjeuner en ville?
J’aime bien aller Au Bureau, place Grenette, une bonne brasserie où l’on est servi rapidement avec des plats très variés et pour tous les goûts (salades, burgers, tartiflette…). L’ambiance est assez sympa. C’est un endroit qui convient très bien aux travailleurs pressés qui ne disposent que d’une heure ou deux à midi.
Aurais-tu un plat ou un dessert en tête à nous conseiller?
Le Welsh, une spécialité du Bureau : du pain de mie cuit dans de la bière avec du jambon et du cheddar fondu, certes très gras mais excellentissime!
Un bar favori?
Le O’ Callaghan, place de Berulle, célèbre pub irlandais victime de son succès pour ses bonnes bières.
Quel genre de sport fais-tu à Grenoble?
Je pratique la course à pied et le vélo. Grenoble étant la ville la plus plate de France, c’est très plaisant de pouvoir y circuler! Mais on peut aussi vite se lancer des challenges avec des montées comme celle de la Bastille, autant en vélo qu’en course à pied. Je pratique aussi la randonnée en été et le ski en hiver, car j’apprécie être en communion avec la nature et ses magnifiques paysages de montagne.
Quel conseil donnerais-tu aux touristes en visite à Grenoble?
De monter dans les célèbres bulles (ndrl : téléphérique en forme de bulles qui survole la ville) et de se rendre à la Bastille afin d’admirer la vue sur Grenoble et ses montagnes. Magique! Puis de s’accorder une virée à Voiron pour visiter les caves de Chartreuse et déguster en fin de parcours le breuvage secret concocté par les moines chartreux.
Comment as-tu connu le Petit Grenoblois?
J’ai connu le Petit Grenoblois grâce à Facebook, une amie m’ayant invitée à découvrir ce blog. Depuis, je ne peux plus m’en passer !
Daniel Craig n’a qu’à bien se tenir, la relève est là !
Le dernier film du britannique Matthew Vaughn, Kingsman, Services Secrets, remet les espions au goût du jour pour nous faire oublier les déceptions des récents James Bond tels Quantum of Solace ou Skyfall, plus empreints aux longues tirades que ses petits frères.
On commençait à se demander où étaient passées les scènes d’action rocambolesques, les machines infernales, les voitures multifonctions et autres véhicules invraisemblables que l’espion le plus connu au monde ne cesse d’emprunter pour éliminer des méchants parfois tout aussi gentlemen que lui, reclus dans des repères gargantuesques aux dangers certains.
Oui, nous sommes définitivement nostalgiques des années James Bond à la sauce Guy Hamilton, ceux qui mettaient en scène Sean Connery ou Roger Moore, truffés de gadgets improbables, aux décors à couper le souffle malgré les techniques de l’époque, où les répliques bourrées d’humour (anglais) d’un double zéro sept plein d’aplomb pouvaient nous faire éclater de rire malgré le sérieux de la situation.
Avec Kingsman, notre mélancolie s’arrête là. Et la comparaison se fait aisément, à un détail près, il ne s’agit (malheureusement) pas là d’un nouvel opus mettant en scène notre agent britannique préféré… Dans ce film adapté d’une bande dessinée, contrairement à la saga, les espions n’appartiennent à aucune structure officielle et agissent dans une confidentialité des plus extrêmes. Les agents secrets prennent des airs de chevaliers celtes avec des noms de code tout droit sortis du roman du Roi Arthur. Ainsi, Galaad, Lancelot, Arthur, Merlin ou Perceval se retrouvent autour d’une table (ovale pour le coup) au sous-sol d’une luxueuse boutique londonienne de costumes pour tenter de sauver le monde aussi élégamment que possible.
Entre flegme anglais et répliques assassines, les British sont tous aussi irrésistibles les uns que les autres. On se surprend même à rêver de voir Colin Firthreprendre le rôle tant convoité de James Bond, plus classe, moins blond et bodybuildé que son acolyte actuel (sans vouloir offenser les fans de Daniel). Les rebondissements sont fréquents et ne manquent pas de nous surprendre. Quant aux acteurs, ils se dégustent à point. Mention spéciale pour Taron Egerton, jeune anglais qui apporte un peu de fraîcheur dans ce monde de brutes, un nouveau talent promis à un succès certain. Un excellent film qui a du chien (au sens propre comme au figuré) et qui ne nous ennuie pas pour un sou!
A découvrir en VO pour se délecter de l’accent British so chic, aux nuances malheureusement imperceptibles dans sa version française.
Tentez de remporter le jeu-concours du mois de février en répondant simplement à cet article.
Chaque mois, c’est le même refrain ! L’un de nos reporters s’est encore perdu dans Grenoble… Parc Paul Mistral, Cours Jean-Jaurès, Caserne de Bonne ou Porte de France, parviendrez-vous à le retrouver en nous indiquant le lieu exact où a été pris la photo ? Le/la grenoblois/e qui percera ce mystère bénéficiera d’une interview exclusive publiée dans la catégorie L’interview du Mois… Le moins que l’on puisse faire pour avoir retrouvé notre journaliste en herbe !
Pour jouer, répondez simplement à ce jeu-concours en déposant votre commentaire ou rendez-vous sur notre page Facebook en cliquant ici. Que le meilleur grenoblois gagne !
Après les fêtes, place au mois de janvier et ses bonnes résolutions tant redoutées…
ON VOUS DONNE UN PETIT APERÇU DE CE QUE NOUS, AU PETIT GRENOBLOIS, ON AIMERAIT VOIR SE RÉALISER POUR CETTE NOUVELLE ANNÉE !
1. Avoir un corps d’athlète, des tablettes de chocolat sans craquer et une santé d’acier résumée dans une assiette diététique qui nous déprime déjà…
2. Trouver un job, un vrai. Parce que Le Petit Grenoblois c’est passionnant, mais ça ne paye pas vraiment les factures (ni les chaussures)…
3. Passer le permis de conduire. Parce que pour trouver un job, c’est mieux.
4. Économiser (ce qu’il nous reste) pour partir en voyage à l’autre bout du monde. Même si ça se résume à la Corse.
5. Parler anglais couramment. Mais avec le parfait accent british, la « Received Prononciation », qui ne nous fera plus passer pour un touriste dans le métro.
6. Manger plus de fruits et légumes, moins de fromage et d’alcool pour pouvoir dormir plus. Beaucoup d’actions en une seule résolution tout ça…
7. Limiter les consultations toxiques sur petit ou grand écran. Et découvrir avec un émerveillement enfantin qu’il y a autre chose que Facebook dans la vie. Et des gens autour de nous.
8. Trouver une direction unique à notre vie, et ne pas passer par quatre chemins.
9. Prendre l’avion dès que l’occasion se présente pour en finir avec cette phobie dévorante. Même si cette occasion ne se présente jamais…
10. Prendre des cours de musique pour développer le côté artiste qui est en nous. Et investir dans un bien immobilier pour ne pas risquer l’expulsion…
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